Commission permanente
du 17 décembre 2002

accueil général-archives-commission permanente du 17 décembre

Commission permanente du mardi 17 décembre 2002
en vue de la révision du projet d'établissement

Elle s'est réunie de 17 heures à 19 h 30, à l'initiative du Proviseur pour procéder à une révision du projet d'établissement.

Le Proviseur avait proposé, lors du dernier Conseil d'administration, qu'elle soit élargie à tous ceux qui pouvaient se sentir intéressés.

Résultat : le Proviseur se fit excuser, et Madame l'Intendante fut absente.

La liste SNES s'était mobilisée. Étaient présents : Nicole Even, Brigitte Vergne, Alain Gicquel, Roland Lachenal, Dominique Lejeune, Gérard Rudent.

On procéda à un tour de table qui dura jusqu'à 18h30. Cela permit d'apercevoir les préoccupations des uns et des autres. Pour le SNES, Gérard Rudent rappela au préalable qu'il était hors de question que ce travail pour réviser le projet d'établissement aboutît à une gestion de la pénurie. La proposition de DHG nous parviendra fin janvier. Avec le budget qui a été voté pour (ou contre) l'Éducation nationale, on peut s'attendre au pire : l'école-sanctuaire risque d'être un temple misérable !

Les représentants de la liste SNES sont intervenus spécialement pour que soient réaffirmées, en bonne place dans le projet d'établissement, les valeurs essentielles de l'école républicaine : transmission des connaissances, en respectant la laïcité, en assurant l'égalité des chances, en réaffirmant son attachement à la gratuité de l'enseignement et à la démocratie dans l'établissement.

Ils ont réaffirmé plus particulièrement, mais dans le même esprit, leur attachement à cette voie dite 7, dont la nécessité est plus évidente que jamais, compte tenu du recrutement des élèves et de l'obligation de les faire réussir en trois ans. Ils ont même lancé l'idée qu'une seconde voie 7 devrait être envisagée.

Pour les Langues vivantes, et en accord avec les parents d'élèves, le SNES souhaite qu'elles deviennent vraiment un objectif essentiel. Il faudrait évidemment que les professeurs de Langues vivantes viennent enrichir le débat.

Pour l'EPS, la liste SNES continue de soutenir cette idée, qui devrait être évidente pour tous, que c'est une discipline à part entière, en pleine rénovation, qui doit trouver une meilleure place dans le projet d'établissement … comme dans l'établissement.

En attendant, il a été convenu avec les Proviseurs-adjoints de réunir la Commission permanente en formule élargie, à partir de la rentrée de janvier, une fois par quinzaine, pour aborder les questions suivantes :

Madame Perrot veut commencer par l'évaluation. Ce n'était pas notre proposition. Les collègues seront donc invités à se réunir dès le début de janvier, avant la Commission permanente.

Dans ces conditions, l'audience du 13 décembre chez Madame l'Intendante va avoir des prolongements intéressants. Trois points, en effet, avaient été abordés : l'administration de l'internat, la pénurie des personnels ATOSS, et la charte des voyages.

Pour l'internat, Mme l'Intendante ne voyait pas l'utilité de réunir la Commission permanente. L'internat pour elle reste un « service annexe d'hébergement ». Pour les élus du SNES (présents : Nicole Even et Gérard Rudent), c'est une fiction administrative. En CPGE, la réalité pédagogique quotidienne inclut l'internat comme un paramètre très important.

En ce qui concerne le manque de personnels ATOSS (- 10 agents), nous lui avons proposé d'aller en délégation au Rectorat réclamer des moyens supplémentaires. Elle n'a pas dit non.

Quant aux voyages, elle trouve décidément qu'il y en a trop. Elle considère que la « Charte des voyages » est un bon texte, mais qu'il faudrait l'appliquer.

Pour ces trois questions, les Commissions permanentes prévues pour janvier et février pourraient être très utiles.

Contacter le webmestre. Page mise à jour le dimanche 26 janvier 2003