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DHG pour 2003-2004 :une régression inacceptable ! |
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Rappelons que l'année dernière à la même époque, le lycée avait déjà subi une baisse de 29,5 heures de sa Dotation Horaire Globale (DHG).
L'action initiée par le SNES avait permis de récupérer 15 heures.
Cette année, les personnels de direction ont reçu consigne de ne rien dévoiler de la DHG qui nous attendait avant la Commission permanente de ce jeudi 6 février. Sans doute le Rectorat, qui donne ses ordres, craignait-il une réaction vive des enseignants des lycées parisiens, et comptait-il sur l'approche des vacances pour empêcher toute mobilisation effective.
En Commission permanente (dont le Proviseur avait soigneusement limité l'accès aux seuls élus, là encore sans doute sur ordre de sa hiérarchie), il a bien fallu faire état des propositions catastrophiques du Rectorat.
Les élus du SNES ont refusé de participer plus longtemps à cette réunion. Il n'est pas utile de perdre du temps à gérer la pénurie : la seule urgence est dans la mobilisation de tous les collègues.
C'est pourquoi nous invitons tous les enseignants du lycée à discuter avec nous des formes d'action collective qu'ils envisagent.
Le 7 février, le bureau de la FCPE LLG lançait cet appel à réagir.
Lors de l'AG du 27 février, le SNES a proposé que les enseignants rejoignent la pétition proposée conjointement par la FCPE et la PEEP.
Le SNES a dénoncé les méthodes rectorales, rappelé les diminutions successives qui nous ont été imposées, il s'est opposé aux pressions consistant à promettre des heures en échange d'une hausse des effectifs, qui dépassent déjà la mesure.
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